20090224

Dragon Quest V a tué mon Street Fighter IV

Impossible de jouer au dernier Street', je suis plongé dans l'aventure de Dragon Quest V.
J'aurai jamais dû acheter les deux jeux en même temps.

Il a fallu une écoute du thème principal et du sfx des magies pour me posséder.

Je m'étais bien retenu de prendre Trigger pour potasser mon code de la route (je vous en raconterai plus dans peu de temps avec le chapitre zero du Driving Licence Quest) mais ce Dragon Quest V est juste démoniaque dans son addiction.

Je ne le lâche plus.

Même les tâches les plus rébarbatives des RPG (personellement j'ai toujours trouvé que le farmingétait une perte de temps) sont plaisantes !

Encore, encore, encore !

20090218

Phantom Blood X Ôgon no Kaze

Aujourd'hui, mon bel ami Vonvon (qui ne met JAMAIS à jour son blog, malgré mes demandes dans les commentaires, enfoiré) m'a amené un joli cadeau :
Un beau cadeau de crasseux comme je les aime. Jojo no Kimyô na Bôken : Ôgon no Kaze et Jojo no Kimyô na Bôken : Phantom Blood sur PS2.

Miam !

20090217

VOTW II



The Simpsons fêtent leur passage à la HD. Du coup, on a droit à un nouvel opening. On peut voir, sans se crever les yeux, exactement combien coute Maggie à la caisse. Et ca, pour un fan des Simpsons, ça n'a pas de prix !

20090215

Ce sera donc une fille !

Hier soir, madame et moi sommes allés rue de Rivoli pour faire une échographie de complaisance.

En fait, lors de sa deuxième échographie, crevette sauteuse (c'est son petit nom) n'avait pas daigné écarter les jambes pour que l'on voit son sexe.

On était assez frustrés, parce qu'on aurait bien aimé savoir.

Le monsieur d'Echolife 3D nous a donc donné la réponse, avec en bonus un DVD et des photos (dont plusieurs en 3D).

Juste après être sorti, le sourire aux lèvres, on est parti faire un peu de shopping histoire de lui acheter ses premiers vrais vêtements sexués.

Madame a pris des petits vêtements tout mignon.

Moi j'ai craqué pour ce petit pyjama qui me rappelle les Malabar bigoût citron fraise de mon enfance.
En plus l'hippo glouton dessus est tout mignon. Je le verrai bien dans un décors de jeu de plateforme choupi à la Yoshi's Island.

Et puis son premier gant de toilette (enfin, celui que papa et maman mettront pour lui nettoyer les fesses).
Avec une petite baleine jaune souriante. Avec un sourire et des joues pareils, même moi j'ai envie de prendre un bain !

20090212

Les envies...

Jusqu'à présent, j'ai toujours cru que les envies de femmes enceintes étaient des légendes.

Vous savez, les fraises à trois heures du matin. Les petit coeur de Belin avec des rillettes du mans ou tout autre mélange incongru dont on nous abreuve sans cesse.

Aujourd'hui, j'ai découvert que ce n'était pas une légende.

Mademoiselle m'a demandé de lui acheter un steak haché de cheval.

Un truc qu'elle n'avait pas mangé depuis plus de dix ans.

Comme ça, sans raison, elle avait envie d'un steak haché de cheval.

Weird.
Pas de panique, ma femme n'est pas un ogre qui mange un steak d'un kilo. C'est une toute petite poêle. Je vous voyais venir, salauds !

20090211

Jeux de main...

Beaucoup de gens pensent que jeux à licence = merde.

Généralement, je suis assez d'accord.

Mais parfois on tombe sur des petites perles qui marient très bien les deux médias.

C'est le cas par exemple de Dragon Ball Advance. Ou d'Astro Boy sur GBA. Et de plein d'autres.

Mais la plupart du temps, on est d'accord, les jeux à licence tirent la licence vers le bas.

Maintenant, il se passe quoi, dans le cas contraire ?

Je suis en train de travailler sur un jeu dont la licence ne fait franchement rêver personne. Licence franco-française cocorico destinée aux jeunes enfants.

Je sais pertinemment que le jeu va se faire turbo lyncher lors de sa sortie. Pour différentes raisons. Déjà, parce que les jeux précédemment sortis sur cette licence sont de terribles merdes (et j'ai travaillé dessus). Et surtout parce que la licence en elle même est quand même super ringarde.

Seulement, le jeu lui, il est vraiment pas mal. No kidding. Je sais rester lucide et je ne suis absolument pas aveuglé par mon travail et ses objectifs. C'est pas l'amérique, mais le jeu est cool et je sais qu'il se fera assommer par la presse voir bouder par les joueurs.

C'est quand même con que la réputation d'un truc ne tienne qu'à un fil alors que, pour d'autres trucs qui profitent d'une hype malhabile, on reconsidère la question.

20090210

VOTW 1


Fight Like Apes - Tie Me up in Jackets from Eoghan Kidney on Vimeo.

Video of the Week, petite "rubrique" que j'ai décidé de lancer et que j'alimenterai toutes les semaines (ou pas, vous savez que je suis un gros menteur/lâche/homme qui ne tient pas ses promesses).

Enjoyez celle ci quand même !

20090206

Taken n'est pas un slogan de fast food

Je viens de terminer Taken.

Ca fera plaisir à une personne. Je vais -enfin- pouvoir lui rendre son Bluray chéri.C’était honnête. Je m’attendais à bien pire. Surtout de la part du monsieur qui a enfanté Banlieue 13 (ou Disctrict B13 comme on dit aux Amériques).

C’est donc l’histoire d’un mec (Liam Neeson), ex agent -de je ne sais quelle société à initiale américaine- à la retraite qui assiste par téléphone à l'enlèvement de sa fille venue en vacances à Paris. Il est quand même un peu énervé, surtout lorsqu’un de ses amis lui apprend qu’elle a été enlevée par une mafia albanaise qui kidnappe des filles pour en faire des trucs pas propre. Alors du coup il décide de venir par ici pour la rechercher.

Le fait que le truc se passe à Paris rajoute fatalement des points au potentiel sympathie. Pas que le film s’attarde sur la ville avec des plans carte postal et tout, mais cocorico quand même. Le truc fait fatalement pensé à 8mm (seul film chouette de Nicolas -j’ai appelé mon fils Kal-El- Cage), mais en plus «intimiste».

Contrairement à 8mm, on est devant un film d’action. «De l’action pure et dure, un film enragé» me scande la boite du Bluray. Dans sa réalisation et sa démarche, Taken rappelle un paquet de films récents. Mais surtout la trilogie Bourne. De grosses scènes de corps à corps tournée façon Bourne, des scènes de course poursuite avec un code musical façon Bourne et des interrogatoires et autres sorties de situations à la Bourne. En fait Taken, c’est Bourne, mais avec un agent qui a la cinquantaine (mais en forme quand même hein). Au niveau de la réal’, on passe d’un plan inspiré à des «trucs» mal monté ou la lisibilité est quasi nulle et on se rend compte que monsieur Morel (c’est le réalisateur) ne sait pas filmer autre chose que des scènes d’action. Tant mieux pour un film d'action. Il y a aussi un gros problème de rythme et la division du film en deux partie. Sur l’heure et demie de sa durée, la première partie se traîne au point d’endormir alors que tout le reste du film monte -doucement- crescendo (pour un final assez «facile» mais acceptable).

Moralité : Rent it

20090205

This is the everything !

Aucun mot ne peut définir l'état dans lequel je me suis retrouvé face à face à ça.